news ID: 16931
News date: 2022-11-24 12:52:03
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Les confrères des terroristes ne sont pas qualifiés pour faire des commentaires sur les droits humains

Accusant l’Allemagne d’avoir fourni au coeur de la guerre Iran-Irak des armes chimiques à l’armée irakienne et d’avoir causé ainsi le martyre et la blessure de plus de cent mille Iraniens, Khadijeh Karimi, adjointe du vice-président chargé des affaires féminines et familiales de la République islmaique d’Iran, a appelé irréaliste et hypocrite la démarche politique allemande lors de la session spéciale du Conseil des droits de l’homme à l’ONU.

Dre Karimi a d’ailleurs affirmé que selon des statistiques et des données fiables, l’Iran est l’un des pays les plus réussis à renforcer la participation sociale des femmes dans divers domaines tels que la santé, l’éducation, le taux d’alphabétisation, l’économie, le sport, etc.

« Les pays revendiquant les droits de l’homme qui ont convoqué cette session d’urgence violent en toute impunité et par les sanctions les plus lourdes, les droits fondamentaux du peuple iranien, en particulier ceux de femme et de l’enfant. Ces pays ne peuvent donc pas prétendre, avec de telles actions inhumaines, soutenir les droits de femme, et de l’enfant en Iran. Ils ont par ailleurs démontré la fausseté de leurs revendications en matière des droits humains en abritant différents groupes terroristes qui ont martyrisé plus de 17 000 Iraniens lors de divers actes terroristes commis en Iran au cours des 40 dernières années. Sur ce, ces pays n’ont jamais l’autorité morale d’élaborer des directives au sujet des droits de l’homme », a-t-elle ajouté.

Exprimant ses regrets au sujet de la mort de Mahsa Amini, l’adjointe du vice-président iranien chargé des affaires féminines et familiales a rappelé la prise des mesures nécessaires après le décès de cette jeune iranienne :  « Toutes les autorités et institutions iraniennes connexes à ce sujet ont effectué un suivi urgent afin d’enquêter sur tous les aspects de cet incident. Cependant, les mensonges médiatiques ainsi que la réaction hâtive et partielle d’un certain nombre d’autorités occidentales et  leurs interventions dans les affaires intérieures de l’Iran ont transformé les assemblées pacifiques en émeutes et en violences, préparant le terrain des attaques terroristes ; ce qui a causé de graves dommages corporels et financiers au public, à la Police, aux  gardes de sécurité, mais aussi aux biens publics et privés ».

Karimi a en plus souligné le rôle destructif de certaines chaînes persanophones basées aux États-Unis et en Angleterre tout en accusant ces médias de fomenter la violence et l’émeute dans le pays, mais aussi d’enseigner la fabrication du cocktail Molotov. De surcroît, « des réseaux comme Instagram, Twitter et WhatsApp qui ont déjà tenté de sensibiliser le public et de susciter plus d’violence et d’émeutes en créant de faux comptes et en diffusant de fausses nouvelles, répètent toujours leurs gestes indécents et humiliants », a-t-elle mentionné.

« Ceux qui se flattent d’être les pionniers des droits humains ciblent la vie des femmes et des enfants iraniens en imposant et en mettant en œuvre des sanctions unilatérales, mais aussi en soutenant les activités terroristes à leur encontre », a déclaré Dre Karimi en rappelant la violence systématique contre les femmes et les enfants dans ces pays, le rejet de la demande d’asile des réfugiées, leur silence sur la situation des femmes au Yémen et en Palestine, l’assassinat de Shireen Abu Akleh et les fosses communes d’enfants autochtones au Canada, tous rejetant les revendications de ces pays concernant les droits de femmes.

Karimi a conclu son discours en s’appuyant sur les manifestations du 4 novembre où le peuple iranien qui a frustré les attentes de ses ennemis, et cela malgré toutes les interventions étrangères et les efforts désespérés pour déstabiliser l’Iran.