Au cours de la réunion de 2 jours du groupe de travail sur l’autonomisation économique des femmes de l’IORA, les projets réussis ont été présentés par des spécialistes sur l’autonomisation économique des femmes iraniennes aux participants étrangers et le rôle hors-pair des femmes dans la création artistique mondiale a été souligné.

 

Selon le rapport des relations publiques de la vice-présidence pour les femmes et les affaires familiales, au cours de la réunion de 2 jours du groupe de travail sur l’autonomisation économique des femmes de l’IORA qui s’est tenue à Téhéran, les projets réussis ont été présentés par des spécialistes de l’autonomisation économique des femmes iraniennes aux participants étrangers et le rôle hors-pair des femmes dans la création artistique mondiale a été souligné.

Dr Mohammad Sadegh Bijandi, membre du corps professoral et directeur du projet de l’autonomisation des femmes, a prononcé son discours lors de la table ronde sur l’autonomisation des femmes dans les pays membres de l’IORA et a élaboré la durabilité du marché et la normalisation des emplois domestiques comme condition préalable du projet.

 Il a ajouté : « Avec le mandat du 13e gouvernement, nous avons essayé de soutenir les emplois domestiques et de créer un marché et nous avons essayé de respecter les normes internationales par le biais de la marque OHOP ( Boutique en ligne des produits du Plan National de Développement des emplois domestiques) pour que les emplois domestiques entrent dans le plan national afin de soutenir les emplois nationaux dans le cadre de l’intérêt du peuple et de la culture et aujourd’hui nous pensons que si le OHOP est mis en œuvre correctement, il créera des emplois durables de manière extensive.

Ce professeur d’université a continué à donner des exemples sur certains des produits fait-maison à l’échelle nationale et a offert une recommandation aux pays membres afin de soutenir la production domestique en se tenant compte de la capacité de l’Iran et a expliqué que OHOP peut être transféré à l’autonomisation économique des femmes des pays membres de l’IORA. En fait, ce projet signifie que les produits domestiques devraient respecter les normes internationales.

 

Dr. Bijandi a offert un de ses produits qui avait reçu les normes du OHOP aux invités étrangers présents à la réunion.

La deuxième partie de la table ronde sur l’autonomisation des femmes a porté sur la présentation de l’un des entrepreneurs les plus prospères dans le domaine de la découpe de bijoux en élaborant les exemples réussis de la présence des femmes iraniennes dans le domaine de l’industrie de la bijouterie.

La participation réussie de l’Iran à 41 expositions internationales avec présentation de produits de joaillerie aux normes les plus élevées a été evoquée.

Cet entrepreneur en plus d’expliquer sur les pierres précieuses dans le monde dans le cadre des cinq premières industries importantes dans le monde a déclaré : « Compte tenu de la possibilité d’extraire plus de 46 tonnes d’or des mines en Iran en 2017, cette industrie peut remplacer le pétrole comme l’une des plus grandes industries en Iran.

Elle a souligné : « Compte tenu du fait que cette industrie a commencé avec le moins d’installations et qu’il y a maintenant plus de 600 femmes et jeunes femmes actives dans ce domaine, elles ont accompli énormément dans l’industrie de la bijouterie. Par conséquent, en tant que membres de l’IORA, travailler ensemble pour promouvoir cette l’industrie sur les marchés mondiaux peut certainement être une excellente occasion de développer la collaboration bilatérale pour les femmes.

 

 

Un autre grand entrepreneur a parlé du rôle de la biotechnologie dans l’économie et la santé.

  Soulignant l’importance de la biotechnologie dans l’économie et la santé, elle a déclaré : « Je voudrais parler d’un joyau très précieux dans mon pays. Je vis dans un pays où, chaque jour, mon guide suprême affirme que la connaissance est le pouvoir « Al-Elmo Al-soltan ». Et je suis heureuse d’avoir des étudiants qui génèrent de la richesse à partir de leurs connaissances. L’une des sciences les plus riches est la biotechnologie qui est composée à la fois de l’industrie et de la médecine. »

 Dans une autre partie de la table ronde, le Dr Seyedeh Fatimeh Mousavi, directrice générale de la coordination de la vice-présidence pour les femmes et les affaires familiales, a parlé des services de la vice- présidence pour les femmes et les affaires familiales en harmonie avec le projet d’entreprises durables qui est actuellement mis en œuvre dans différentes provinces du pays.

Elle a expliqué que la méthode efficace pour démarrer une entreprise commence par l’identification des candidats et s’étend à la recherche de leurs talents et menant à leur autonomisation et les rejoindre sur le marché et a rappelé que ce projet contribue à améliorer le rôle des femmes dans l’économie de la famille. Cette méthode contribue à l’autonomisation de la famille dirigée par des femmes et soutient les produits locaux dans les réseaux de marketing.
Dans une autre partie de la discussion, Dr Farahnaz Rafeh, présidente du Centre national iranien du tapis, a parlé de la capacité des femmes à tisser le tapis à la main et a déclaré : « Grâce à leurs compétences et à leur profession, les femmes iraniennes ont créé un art mondial hors- pair. » Se référant à certaines œuvres des femmes dans l’industrie iranienne du tapis, elle a parlé de leur innovation hybride dans le développement du tissage de tapis dans d’autres arts comme la mode et le vêtement et a invité les pays membres de l’IORA à participer aux festivals de tapis et au festival des tapis de luxe iraniens afin de développer les interactions économiques bilatérales.

A la fin, les représentants des pays membres de l’IORA ont chacun rejoint le dispositif de tissage de tapis comme un symbole de paix et ont fait un nœud au tapis iranien.